espace de
liberté et
d'apprentissage
nécessaire

Regards croisés – La rencontre !

Le premier atelier du projet de photographie « Regards croisés des aîné·es de la madeleine », était le moment de rencontre entre les participant·es, organisatrices, bénévoles et le collectif pol—n.

On a parlé de qui on est, d’où on vient, comment et pourquoi on est arrivé dans ce projet.

On a aussi établi quelques rituels, dont un rituel de respiration, méditation et activation du corps pour se faire du bien et rester actif·ve.

Pour mieux apprendre à se connaître, on a fait un portrait chinois par petits groupes, qu’on a ensuite lu à voix haute.

Si vous étiez un animal vous seriez…
Si vous étiez une plante (fleur, arbre)…
Si vous étiez un moment de la journée…
Si vous étiez une ville…
Si vous étiez un livre ou magazine…

Le portrait chinois nous a fait beaucoup rigoler et en découvrir beaucoup sur les personnes qui nous entouraient.
La question qui a le plus fait rire était « Si vous étiez un gros mot, vous seriez… »

On vous laisse imaginer le tas de gros mots qu’on a eu à cette question !

Lors de cet premier atelier, on a fait découvrir le petit cinéma aux particiant·es en leur montrant des vidéos du projet « Super Mamika » de Sacha Goldberg.
Ces projections on fait rire certain·es, réfléchir d’autres et ça nous a permis de lancer des premières discussions sur le vieillissement, nos perceptions de l’âge et les assimilations qu’on fait. Que veut dire vieillir dans la dignité ? Toute la question et l’intérêt de ce projet.

On a fini l’atelier par un goûter autour de tout un tas d’exemples de photos.

Celles-ci nous ont servies comme source d’inspiration pour nourrir nos imaginaires et commencer à réfléchir aux envies qu’on as pour raconter nos histoires.

Ronan Dabirand, membre de l’asso polénienne Makiz’art a participé en tant que bénévole sur cet atelier. Il a pu présenter le travail de l’asso Makiz’art aux participant·es et un appareil photo à la main, il a capturé ces moments de l’atelier pour en garder des traces et souvenirs.